Journal de 8h, vers 8h13
Le Collectif féministe contre le viol, lance une campagne télévisée contre le viol pour dénoncer le viol conjugal, le phénomène serait en constante augmentation même s’il reste difficile à évaluer.
Christine Montclar
La part des viols conjugaux est difficile à mesurer tant ce crime est tabou, les femmes ont du mal à témoigner, car il faut accepté d’être passé d’une relation sexuelle entre adultes consentants au départ, à une relation forcée.
Souvent, le viol conjugal va de paire avec la violence, pour éviter quelques coups, la femme se soumet au désir de son mari.
Or, la loi est claire : Toute pénétration sexuelle sous contrainte est un viol et le fait d’être mariés ou pacsés est même une circonstance aggravante.
On est loin du fameux devoir conjugal aboli en France depuis 20 ans, et qui continue pourtant de brouiller les esprits et empêche des femmes de dénoncer leur mari.
Or, KAN C NON, C NON martèle depuis des années, le Collectif féministe contre le viol, qui veut inciter les victimes à parler sans peur.
Victimes femmes et hommes d’ailleurs, car peu à peu, les maris battus ou agressés sexuellement libèrent eux aussi leur parole.
Mais, reste que 91% des victimes de viol sont toujours des femmes et 100% dans le cas des viols conjugaux.
Une loi votée l’an dernier impose désormais une formation spécifique dans la police, la justice et l’éducation nationale pour mieux recevoir ces témoignages.
l’enjeu étant que les viols se traduisent en plainte, ce qui n’est aujourd’hui le cas qu’une fois sur dix seulement.
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Autres billets sur la campagne Viol conjugal du 15 juin 2011
14 juin 2011 – KAN C NON… C NON ! par le collectif féministe contre le viol
14 juin 2011 – Viol conjugal, le « dernier tabou » par le Nouvel Observateur
Spot de la campagne contre le viol conjugal du Collectif féministe contre le viol – CFCV
Le Collectif féministe contre le viol, lance une campagne télévisée contre le viol pour dénoncer le viol conjugal, le phénomène serait en constante augmentation même s’il reste difficile à évaluer.
Christine Montclar
La part des viols conjugaux est difficile à mesurer tant ce crime est tabou, les femmes ont du mal à témoigner, car il faut accepté d’être passé d’une relation sexuelle entre adultes consentants au départ, à une relation forcée.
Souvent, le viol conjugal va de paire avec la violence, pour éviter quelques coups, la femme se soumet au désir de son mari.
Or, la loi est claire : Toute pénétration sexuelle sous contrainte est un viol et le fait d’être mariés ou pacsés est même une circonstance aggravante.
On est loin du fameux devoir conjugal aboli en France depuis 20 ans, et qui continue pourtant de brouiller les esprits et empêche des femmes de dénoncer leur mari.
Or, KAN C NON, C NON martèle depuis des années, le Collectif féministe contre le viol, qui veut inciter les victimes à parler sans peur.
Victimes femmes et hommes d’ailleurs, car peu à peu, les maris battus ou agressés sexuellement libèrent eux aussi leur parole.
Mais, reste que 91% des victimes de viol sont toujours des femmes et 100% dans le cas des viols conjugaux.
Une loi votée l’an dernier impose désormais une formation spécifique dans la police, la justice et l’éducation nationale pour mieux recevoir ces témoignages.
l’enjeu étant que les viols se traduisent en plainte, ce qui n’est aujourd’hui le cas qu’une fois sur dix seulement.
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14 juin 2011 – KAN C NON… C NON ! par le collectif féministe contre le viol
14 juin 2011 – Viol conjugal, le « dernier tabou » par le Nouvel Observateur
Spot de la campagne contre le viol conjugal du Collectif féministe contre le viol – CFCV
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