Dépression : les espoirs de la stimulation transcranienne
Publié : 12 juin 2017
Une équipe de la Fondation FondaMental s’est intéressée aux effets de la stimulation transcranienne dans la dépression. Résultats encourageants d’une étude sur un modèle murin dans Brain Stimulation.
Identifier de nouvelles stratégies thérapeutiques dans la dépression
La dépression touche plus de deux millions de Français chaque année. Maladie psychiatrique la plus fréquente, la dépression peut connaître une évolution chronique et s’accompagner de complications sévères (troubles cognitifs, pathologies somatiques associées, risque de suicide…). Dans 15 à 30% des cas, les stratégies thérapeutiques standards proposées restent inefficaces avec des conséquences certaines sur la qualité de vie des malades, ainsi que sur la vie sociale, familiale et professionnelle. Comprendre les ressorts de la résistance aux traitements et identifier de nouvelles voies thérapeutiques sont des enjeux de tout premier ordre.
Une réflexion au sujet de « Dépression : les espoirs de la stimulation transcranienne »
Il y a le traitement SMT.
Et le RTMS et c’est celui-ci que je vais avoir, à Poitiers en neurologie, comme protocole le même style. J’aurais des instructions à suivre après le traitement, boire un litre d’eau, une heure au calme allongée… prise de tension… car cela peut aussi provoquer des migraines… Mais il y à ce petit problème d’épilepsie qui est contre-indiqué mais le neurologue de Tours le Pr lui veut se lancer car il ne me reste plus rien comme traitement aussi bien pour la douleur etc. Mais Poitiers n’est pas chaud mais le protocole est signé et la prise en charge VSL aussi faite auprès de la sécu, après reste la date en septembre, suivant mon état. L’opération n’était pas prévue et elle n’est pas au courant non plus.
De même, il faudra que je dessine à côté. Pour faire sortir ce que je ressens après chaque séance de traitement.
Par contre je ne connais pas la différence entre les deux SMT et RTMS.
Les électro-chocs sont impossibles avec les troubles dissociatifs.
Et la troisième solution était de me faire avaler un médicament mais là (comme une sorte d’hypnose) aussi trop de danger, c’est aussi à cause des dissociations.
Béatrice Mémoire-Peinte