Définition du féminisme

CONTRIBUER à une prise de conscience individuelle et collective de ce qu’est le viol : un crime dont les racines se trouvent dans l’inégalité entre les femmes et les hommes.
PARTICIPER à la construction d’une société fondée sur l’égalité entre les femmes et les hommes et la reconnaissance de leur propre identité et dignité.

___________________________

Philosophie féministe
Passé le temps de la dénonciation de la « Phallocratie » (pouvoir) » et du « Patriarcat « (sociologie), cette discipline ouvre le champ à une pensée de l’être féminin (non excluante puisqu’induisant une relation ajustée à son partenaire).

___________________________

Brève définition – Équipe Perspective Monde

Féministe : personne appartenant à un mouvement politique qui prône l’égalité réelle entre les hommes et les femmes dans la vie privée et dans la vie publique. 
Au sens large, le féminisme inclut l’ensemble argumentaire qui dénonce les inégalités faites aux femmes et qui énonce des modalités de transformation de ces conditions. Il comprend des réflexions théoriques, des études empiriques et des propositions politiques et sociales.
Le féminisme est un mouvement diversifié dont les combats ont évolué au fil des années et selon les pays. Revendiquant d’abord le droit de vote pour les femmes (fin du XIXe et début du XXe siècle), la lutte des mouvements féministes a ensuite touché les aspects juridiques, économiques et culturels. Les féministes ont ainsi été actives dans plusieurs dossiers : l’abolition des discriminations dans la vie professionnelle, la décriminalisation de l’avortement, l’implantation de garderies, la dénonciation de toutes les formes de violence exercée contre les femmes dans la vie privée comme dans la vie publique.

Pour lire les définitions, cliquez sur les logos.

Le Planning familial de Paris dénonce l’intrusion de militants anti-IVG dans ses locaux


Publié le 29 juin 2012 par Égalité
Dans un communiqué, l’association départementale du Planning familial de Paris a dénoncé l’intrusion les 25 et 26 juin derniers de militants anti-avortement « entrainant l’entrave à l’accueil des femmes en demande d’IVG » dans ses locaux du 10, rue Vivienne, dans le 2e arrondissement.
La plainte déposée au nom de l’association par la présidente Marie-Claude Zalamansky, en présence d’une femme « témoin et victime, agressée physiquement et psychologiquement », a été refusée par les services de police. Seule une main courante a pu être déposée.
L’association départementale de Paris « appelle au soutien et à la vigilance de toutes les forces progressistes afin que les droits des femmes et leurs choix soient respectés »
Pour lire le billet, cliquez sur le logo de Egalité