par Josée Leboeuf,
M.A. Sexologue clinicienne et psychothérapeute
En cette ère technologique, nous sommes appelés à nous questionner sur la place des médiums tels que l’internet dans les professions de la relation d’aide.
Certains y voient une avenue de choix ; une solution futuriste à notre portée, tandis que d’autres s’inquiètent des conséquences de l’apparition de ces nouveaux services sur la définition de la relation d’aide en général.
Cet article permettra au lecteur de se questionner sur la pertinence de l’utilisation de l’internet dans le domaine de la relation d’aide, principalement en ce qui concerne la sexologie clinique (qui est ma formation de base). Quelle est sa place ? Quels sont les avantages et les inconvénients d’une telle approche ?
Pour lire le billet, cliquez sur la tête et le cerveau
Une réflexion au sujet de « Réflexion sur la place de l’internet dans la relation d’aide par Josée Leboeuf »
« un engagement en terme d’énergie, de temps et d’argent »
les professeurs et autres formateurs aussi sont payés ! essayez d’apprendre une langue étrangère, il y faudra du temps et de l’énergie, peut-être avec un cours d’excellent rapport qualité/prix 🙂
quant à « se cacher derrière son ordinateur », c’est très protecteur : une personne atypique dans sa socialisation ou polytraumatisée a le droit de revendiquer d’utiliser les outils qu’elle estime les plus confortables ou profitables pour elle-même aussi longtemps qu’elle l’estimera nécessaire.
Si un thérapeute arrive à aider à accélérer un processus relationnel, très bien : qu’il indique quelles sont ses méthodes et qu’il communique clairement sur ses actions et ses stratégies.
A moins que thérapie ne soit contradictoire avec partenariat ?
Althaea OFFICINALIS