Mindfulness and Metta-based Trauma Therapy (MMTT): Initial Development and Proof-of-Concept of an Internet Resource

Mindfulness and Metta-based Trauma Therapy (MMTT): Initial Development and Proof-of-Concept of an Internet Resource

Paul Frewen
Nicholas Rogers
Les Flodrowski
Ruth Lanius
First Online: 09 April 2015

Previous studies have found internet service delivery of cognitive behavior therapy (CBT) for PTSD to be both highly acceptable and effective.
In fact, research shows that PTSD outcomes for online treatment are often of a comparable magnitude to those found for the same kinds of interventions when delivered face to face, as has been generally found for internet therapy of other affective disorders (Andersson and Cuijpers 2009; Cowpertwait and Clarke 2013; Cuijpers et al. 2011; Spek et al. 2007).
Indeed, the first study of internet treatment of PTSD was completed more than a decade ago and demonstrated, among 20 college students previously exposed to interpersonal violence, that providing CBT interventions for emotion regulation in addition to exposure-based narrative writing about traumatic events conducted via email resulted in clinically significant reductions in post-treatment PTSD symptoms (Lange et al. 2000).
Since that time, research has suggested that individuals are indeed interested to receive internet-based treatments of PTSD (e.g., Spence et. al., 2011), and a number of additional studies have provided general support for internet CBT interventions for PTSD, although most studies have only compared outcomes via pre-post or non-active control designs (e.g., with supportive counseling; see Boasso et al. 2014, for review).
However, we are aware of no internet-based mindfulness or metta interventions for PTSD and related comorbid disorders, including depression, anxiety disorders, or dissociative disorders.


Pleine conscience et Thérapie de Trauma Metta-basée (MMTT) : Développement Initial et Preuve-de-concept d’une Ressource Internet

Des études précédentes ont trouvé la livraison de service Internet de thérapie comportementale cognitive (CBT) pour PTSD pour être tant fortement acceptables qu’efficaces.
En fait, la recherche montre que des résultats PTSD pour le traitement en ligne sont souvent d’une ampleur comparable à ceux trouvés pour les mêmes sortes d’interventions quand livré face à face, comme était généralement trouvé pour la thérapie Internet d’autres troubles affectifs (Andersson et 2009 Cuijpers; Cowpertwait et Clarke 2013; Cuijpers et d’autres. 2011; Spek et d’autres. 2007).
En effet, la première étude de traitement Internet de PTSD a été achevée il y a plus d’une décennie et démontrée, parmi 20 étudiants universitaires précédemment exposés à la violence interpersonnelle, cette fourniture de thérapie comportementale cognitive (CBT) des interventions pour le règlement d’émotion en plus de l’écriture de récit à base d’exposition d’événements traumatisants conduits via le courrier électronique abouti des réductions cliniquement significatives du post-traitement PTSD des symptômes (Lange et d’autres. 2000).
Depuis ce temps, recherche a suggéré que les individus soient en effet intéressés pour recevoir les traitements à base d’Internet de PTSD (par exemple, Spence et. Al., 2011) et un certain nombre d’études supplémentaires ont fourni le support général pour Internet des interventions de thérapie comportementale cognitive (CBT) pour PTSD, bien que la plupart des études aient seulement comparé des résultats via des conceptions de contrôle pré postales ou non-actives (par exemple, avec le conseil de soutien ; voir Boasso et d’autres. 2014, pour examen).
Cependant, nous ne sommes conscients d’aucune pleine conscience à base d’Internet ou des interventions metta pour PTSD et des troubles comorbides liés, y compris la dépression, des troubles d’anxiété, ou des troubles dissociatifs.

• Lange, A., Schrieken, B., van de Ven, J., Bredeweg, B., Emmelkamp, P. M. G., van der Kolk, J., & Reuvers, A. (2000). “Interapy”: the effects of a short protocolled treatment of posttraumatic stress and pathological grief through the internet. Behavioural and Cognitive Psychotherapy, 28(02), 175–192. doi:10.1017/S1352465800001089.

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Votre psy doit-il lire ce que vous postez sur les réseaux sociaux ?

Logo-Slate-fr23.03.2016

Certains psychothérapeutes avouent consulter internet pour en savoir plus sur leurs patients. Une pratique que questionne la profession.

L’essor d’internet touche toutes les professions, y compris celle de psychothérapeute. Selon une étude autrichienne publiée début 2016 et repérée par le site Motherboard, 40% de ces professionnels de la santé mentale avouent avoir jeté un œil au profil Facebook ou Twitter de leur patient. Un chiffre conséquent, alors que le lien qui unit le thérapeute à son patient est censé se baser sur la confiance et le rapport humain.

Les 60% qui ne mêlent pas web et thérapie remettent en question la fiabilité des informations que l’on trouve sur la toile. Certains se montrent même bien plus critiques vis-à-vis de ce qu’ils considèrent être une violation de la vie privée.

C’est l’avis que partage Mayura Deshpande, présidente du comité de pratique et d’éthique professionnels au Royal College of Psychiatrists, principale organisation professionnelle regroupant les psychiatres britanniques. Elle explique à Motherboard ne pas voir le métier de psy de cette façon : « Notre travail n’est pas de constituer un dossier sur une personne, mais de travailler avec les informations que le patient nous donne. »

Psychologie numérique

Certains praticiens, à l’inverse, assument totalement ces recherches Google. À l’heure où les chefs d’entreprise font fréquemment appel aux réseaux sociaux pour se renseigner sur un futur employé ou pour vérifier l’hygiène de vie d’un de leurs salariés, des psychothérapeutes considèrent que ces recherches sont un moyen comme un autre d’avoir accès à des informations personnelles. «Quiconque met en ligne ses informations personnelles donne implicitement la permission à n’importe qui de les consulter», se défend l’un d’eux dans l’étude autrichienne.

Et puis notre façon de nous exprimer et d’agir sur internet ne reflète-t-elle pas une partie de notre personnalité, plus immergée en société ? Ne faudrait-t-il pas l’étudier ? Si, selon Alice Ashby, psychiatre et auteure d’une tribune dans le British Journal of Psychiatry Bulletin sur l’éthique de ce renseignement numérique, mais avec une certaine distance et en respectant la vie privée de ses patients. « Je n’aime pas l’idée, éthiquement, de se renseigner sur quelqu’un en ligne sans son consentement. Cela s’apparente à une transgression. Pour autant, cela ne devrait pas clore le débat », dit-elle à Motherboard.

Selon elle, la psychologie va devoir s’aventurer à sa manière sur la toile : « Je pense qu’il est aussi important de questionner les patients au sujet de leurs interactions sur internet qu’au sujet de leurs relations dans la vraie vie. »

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