Conférence – 7 mai 2014 – Les nouvelles possibilités offertes par la réalité virtuelle lors de l’évaluation des agresseurs d’enfants

Logo-Institut-PinelConférence du

Dr Joanne-Lucine Rouleau

Professeur/ Chercheur et Psychologue
Université de Montréal (Canada), Institut Philippe Pinel de Montréal

(Laboratoire de Réalité virtuelle)
Faculté des Arts et Sciences, Département de Psychologie, Secteur Psychologie légale

mercredi 7 mai 2014

18h à 20h

Faculté de médecine de l’Université Paris Descartes

15 Rue de l’École de Médecine – Paris 6ème (Métro Odéon)
Amphithéâtre Portier

L’historique de la réalité virtuelle (RV) s’étend sur près de 50 ans au cours desquels des progrès majeurs sont survenus en électronique, en informatique et en ergonomie. L’évaluation des préférences sexuelles des délinquants sexuels a aussi progressé depuis la pléthysmographie pénienne (PPG) à la fin des années cinquante et, avec la capacité et la convivialité auxquelles la réalité virtuelle et les technologies de l’informatique sont arrivées, ces domaines peuvent maintenant interagir. Les technologies de la (RV) rendent possible l’expérience sensorielle qu’on nomme « immersion ». Dans le cas de la recherche sur la délinquance sexuelle et la psychologie clinique, cela se traduit en un gain en validité écologique et en moyens nouveaux d’évaluation et de traitement. Cette présentation traitera d’abord des étapes nécessaires à la conception de stimuli générés par ordinateur (SGO) et pouvant être utilisés et exportés à travers le monde lors de l’évaluation et le traitement des dysfonctions sexuelles et des déviances sexuelles
Par la suite il vous sera présenté comment la pléthysmographie pénienne peut faire l’objet d’améliorations par la combinaison de la pléthysmographie pénienne et de la vidéo-oculographie (eye-tracking device) lors de la présentation de stimuli générés par ordinateur (SGO). De plus l’apport de la vidéo-oculographie (eye-tracking device), à l’identification des tentatives de falsification lors de la procédure pléthysmographique sera présentée. Enfin les impacts cliniques de ces résultats seront discutés
La conférence sera prononcée en français.

Trolls Just Want to Have Fun?

 

According to a new study, researchers have found that people who troll online often have nasty personalities. And, well, they like doing it. Trolls enjoy trolling.Surprised? Not sure anyone would be.

Nonetheless, the researchers found that trolls scored highly on a number of personality traits examined: Machiavellianism, psychopathy, narcissism, extraversion, disagreeableness and sadism.

Trolling is, according to the researchers (Buckels et al., 2014), the “practice of behaving in a deceptive, destructive, or disruptive manner in a social setting on the Internet with no apparent instrumental purpose.” People who troll like to post comments to websites or communities online that cause trouble, insult others, and cause general mayhem, just for the sheer pleasure of seeing what happens when they do so.

The researchers coined their own term for four of the personality variables they studied, which they call the Dark Tetrad of personality: Machiavellianism, psychopathy, narcissism, and sadism. Machiavellianism is a willingness to manipulate and deceive others, while psychopathy is not having any remorse or empathy for others. The researchers thought everyday sadism would be most conducive to trolling behavior online.

In two studies of over 1,215 participants, the researchers found that a number of personality traits were associated with a greater likelihood for trolling…

Read more: http://psychcentral.com/blog/archives/2014/02/16/trolls-just-want-to-have-fun/

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Trois chercheurs de l’université de Manitoba au Canada se sont penchés sur le cas des trolls du Web, pour en dresser le profil type. Ce dernier n’est pas des plus flatteurs.

Problem? Dans une étude publiée le 8 février dernier, trois chercheurs du département de psychologie de l’université de Manitoba, à Winnipeg au Canada, se sont intéressés aux trolls du Web. Ils ont interrogé plus de 1200 internautes autour de leur comportement sur Internet et leurs caractéristiques personnelles, en vue de répondre à la question « qu’est-ce qu’un troll ? »
L’étude, nommée « Trolls just want to have fun » – « Les trolls veulent juste s’amuser », apporte des conclusions plutôt effrayantes concernant le profil du troll moyen. Ainsi, selon les chercheurs, les trolls se comportent « de façon trompeuse, destructrice ou perturbatrice dans le cadre social du Net, sans raisons intéressées apparentes ». En somme, les attaques sont gratuites et les trolls sont présentés comme de véritables « agents du chaos » à tendances sadiques, mais pas seulement.
De joyeux psychopathes
« Dans l’analyse finale de la deuxième étude, nous avons trouvé des preuves claires qui indiquent que les sadiques ont tendance à troller parce qu’ils aiment ça. En limitant cette jouissance, l’impact du sadisme sur le troll a été divisé par deux; et l’effet indirect du sadisme à travers le plaisir était substantiel, significatif » commente l’étude.

La suite ici: http://www.clubic.com/internet/actualite-619500-sadiques-psychopathes-trolls-web-coeur-etude.html