Ils ont perdu leur parent en novembre 2011 – Here’s their message for Paris

Ils ont perdu leur parent en novembre 2011 – Here’s their message for Paris

Ajoutée le 27 nov. 2015

« I know what it’s like to have my father killed on national television. »

Grown-up children of 9/11 victims send messages of hope to the people of Paris in heart-wrenching video

  • In the clip, four people talk about losing their fathers in the World Trade Center attacks in 2001
  • Juliette Candela, 21, Francesca Picerno, 23, Terrease Aiken, 22, and Joseph Palombo, 26, were all kids at the time of the tragedy
  • They tell the loved ones of those who were killed in Paris on November 13 not to stop living their lives
  • They also discuss what it’s like to lose a parent in such a public way, particularly when they were murdered

The children of those who died in the September 11 terrorist attacks have a unique perspective on the recent attacks in Paris, and now a few of them have shared some kind and understanding words with the citizens of the City of Light.

In a video by Vox, four children of 9/11 victims have recorded a message for the people of Paris, explaining how they’ve moved on after their own painful losses and offering words of encouragement.

Each of the speakers was quite young at the time of the attack. Now adults, they’ve had fourteen years to come to terms with what happened to their fathers – and they all urge those who saw a loved one die on November 13 not to stop living their own lives.

Rassemblement au Bataclan : « Pourquoi ont-ils attaqué la musique ? »

logoFigaroCultureRassemblement au Bataclan : « Pourquoi ont-ils attaqué la musique ? »
15/11/2015
Par Noémie Halioua

REPORTAGE- Une petite foule hétéroclite s’est spontanément recueillie ce dimanche, à quelques mètres de la salle de spectacle, pour rendre hommage aux victimes de l’attentat du 13 novembre.

« J’ai un poids ici », avoue Tessa en posant la main sur son cœur « c’est pour ça que je suis venue, ajoute-t-elle. Pour partager la peine de ceux qui ont perdu des proches ». Cette dame de 59 ans fait partie de ces dizaines de personnes qui se sont réunies spontanément ce dimanche 15 novembre, rue Oberkampf, pour rendre hommage aux victimes de la prise d’otage tragique du Bataclan qui a fait 89 victimes.
Vers dix-sept heures, des dizaines de personnes de tous les âges se sont recueillis devant le barrage installé par les policiers, à quelques numéros de rue de la salle de concerts. Ils sont venus y déposer des messages, des bougies, des fleurs. Tous avaient fait le déplacement : des familles avec des enfants en bas âge, des femmes âgées, des adolescents. Un garçon d’environ quinze ans, sortait de son sac à dos, des cierges encore sous cellophane. « Pourriez-vous me prêter votre briquet s’il vous plaît ? » les gens s’organisent, se parlent. D’autres se recueillent en silence, à quelques mètres de la salle de concerts. « Je trouvais ça tellement surréaliste, qu’il fallait que je vienne voir de mes yeux », confie une dame équipée de ses béquilles.

Essayer de rassembler ses idées

« Je suis musicien, je vais régulièrement au Bataclan pour jouer, je n’arrive pas à comprendre, pourquoi ont-ils attaqué une salle de concert ? Pourquoi s’en sont-ils pris à la musique ? », demande Quentin, les pommettes rouges, une cigarette à la main. Avant d’ajouter : « J’avais besoin de venir sur place pour essayer de rassembler mes idées ». Ses deux amis présents sur place, musiciens aussi, ne souhaitent pas en dire plus. La tristesse est visible dans leurs yeux.

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