Le peintre André Godefroid – Panique au Bataclan

logo l'avenir.netLe peintre André Godefroid – Panique au Bataclan
vendredi 26 août 2016

Marqué par les attentats à Paris, le peintre hurlu nous a invités à découvrir sa dernière œuvre inspirée de la tragédie du Bataclan.

André Godefroid

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Comme tous les peintres que l’on peut prendre en considération, la recherche d’André Godefroid a été incessante. Le choix d’un artiste ne résulte pas d’un raisonnement calme, clair et logique, il est la suite de passions diversifiées qu’il abrite en son cœur.

Après une période régionaliste de scènes locales, il s’est attaqué à un personnage de légende, l’immense Jacques Brel. Sensible à l’extrême, il a été littéralement possédé par l’ouvre poétique du chanteur compositeur disparu. D’ailleurs, la Fondation Jacques Brel a permis à André de s’exprimer dans une vaste exposition à Bruxelles.

Primé à Bruxelles et à Charleroi, sélectionné aux Arts Graphiques internationaux, une prestation parisienne et d’autres a suivi sa route.

Peintre expressionniste par excellence, sa continuation dans la recherche lui a donné dans la discipline de l’aquarelle une légèreté nouvelle. Légèreté dans les lignes accentuées par la puissance poussée à l’expressionnisme dans un thème proche de Modigliani.

C’est certain…. c’est un artiste complet.

La thèse d’Alban Denuit, mort au Bataclan, va être publiée

b_1_q_0_p_0La thèse d’Alban Denuit, mort au Bataclan, va être publiée
25/08/2016

Hélène Sorbé, professeur à l’université Bordeaux Montaigne, a pu collecter les fonds nécessaires en vue de la publication d’un ouvrage rendant hommage à Alban Denuit, Marmandais disparu dans les attentats du 13 novembre

Hélène Sorbé ne s’attendait pas à autant de générosité… Après avoir lancé une souscription sur la plateforme de financement participatif Ulule en juillet, la professeur d’université a pu collecter les fonds nécessaires afin de publier la thèse d’Alban Denuit, jeune homme de 32 ans originaire de Marmande, tragiquement disparu dans les attentats du 13 novembre, au Bataclan.
« Ses collègues doctorants, ses amis mais aussi de nombreux Marmandais ont souhaité participer », détaille le professeur qui a pu collecter 5000 euros qui serviront à la publication d’un ouvrage s’inspirant du travail de l’artiste plasticien. Un ouvrage vulgarisé par Hélène Sorbé, admirative du travail d’Alban qu’elle suivait depuis onze ans. « C’était un étudiant sérieux, passionné. Un des meilleurs que j’ai pu soutenir et encadrer. »

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