Mort d’un interprète afghan oublié par la France – 28 minutes – ARTE

Mort d’un interprète afghan oublié par la France – 28 minutes – ARTE

Ajoutée le 26 oct. 2018

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Claude Askolovitch revient sur la mort d’un ancien interprète des forces françaises, un Afghan, Qader Daoudzai, abandonné à son sort. Bien qu’ayant travaillé pour la France, sa demande de visa a été refusée. Une bombe des talibans l’a tué… 28′ est le rendez-vous quotidien d’actualité sur ARTE, 100% bimédia, du lundi au vendredi dès 20h05. Retrouvez toutes les informations sur notre site : http://www.arte.tv/28minutes.

Un film d’animation pour retracer le parcours chaotique des réfugiés

Un film d’animation pour retracer le parcours chaotique des réfugiés
20/06/2017
A l’occasion de la Journée Mondiale des Réfugiés, la Fédération Internationale des ligues des Droits de l’Homme (FIDH) lance sur les réseaux sociaux un clip d’animation (2’12) retraçant le parcours chaotique d’une famille de réfugié-e-s Syriens errant entre la Turquie et l’Union Européenne. Réalisé par le graphiste Simon HIGELIN, avec la voix de Jane BIRKIN, le clip revient sur plusieurs étapes caractéristiques : absence d’autorisation de travail, traversée en bateau vers la Grèce, encampement grillagé aux marges de l’Europe, refoulements vers la Turquie.
Alors que les discours politique et médiatique évoquent une “crise” migratoire “sans précédent”, l’Union Européenne n’accueille, à l’échelle de la planète, que 6% des réfugié-e-s. A l’occasion de la Journée Mondiale des Droits des Réfugié-e-s, la FIDH lance aujourd’hui un petit film d’animation pour déconstruire “Fake news” et idées reçues, et dénoncer à travers la mise en scène de plusieurs problématiques emblématiques les abus dont ils sont victimes.
Ainsi, l’internaute est amené à suivre le parcours de Meriem, Syrienne survivant en Turquie avec sa famille, et dont le frère a effectué la traversée vers l’Europe pour se retrouver bloqué dans le camp grec de Lesbos avant d’être expulsé en Turquie… en application de l’accord passé le 18 mars 2016 avec l’Union Européenne.

Enfin, le récit s’élargit à la situation des 65 millions de personnes victimes de déplacements et migrations forcés de par le monde. Alors que les camps se multiplient et les droits des personnes s’amenuisent, des solutions simples existent pourtant pour améliorer concrètement (accès facilité aux zones sûres ; accès à l’éducation et au logement ; permis de travail) et rapidement leurs conditions d’existence.

Pour lire l’article, cliquez sur le logo de FIDH