La sphère, symbole du mouvement

Logo Persée15 octobre 2015
Communication et langages
La sphère, symbole du mouvement
André Lavarde

Résumé

La forme circulaire a été utilisée dès l’Antiquité pour représenter le monde et sa marche. De la cosmogonie, le symbole est passé à l’alchimie – ce qui est en bas est comme ce qui est en haut –, puis de l’alchimie à la chimie et à la physique. À ces différentes étapes de la connaissance, la forme ronde est utilisée à la fois pour représenter les choses et le mouvement qui les anime et les relie entre elles. Cette symbolique reflète-t-elle la réalité de ce que la science a découvert ? Certes non, mais elle demeure commode comme outil de vulgarisation. Dans ce rôle, elle contribue à la construction de notre pensée, comme le conclut André Lavarde, une pensée éloignée de celle des savants, déchiffreurs du monde.


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Lavarde André. La sphère, symbole du mouvement. In: Communication et langages, n°119, 1er trimestre 1999. Dossier : Les
nouvelles technologies de la communication. pp. 55-65.
doi : 10.3406/colan.1999.2907
http://www.persee.fr/doc/colan_0336-1500_1999_num_119_1_2907


La forme sphérique, omniprésente dans la représentation de l’atome, trouve son origine dans la plus haute antiquité. Servant de modèle pour le décrire comme un petit système solaire, l’image est tellement familière que nous ne prêtons plus guère attention à ce qu’elle recèle d’implicite.
Un examen attentif de la façon dont sont apparus les symboles, classifications et notations chimiques, en dit long sur la part d’irrationnel qui a prévalu dans la représentation de la constitution ultime de la matière.

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L’art-thérapie pour vétérans

Ajoutée le 29 avr. 2015

Les bienfaits de l’art-thérapie se font ressentir chez des vétérans de guerre canadiens qui cherchent à mieux gérer leurs traumatismes.
Un reportage de Paul Ruban et Kalinka Saint-Pierre.

love-art-therapy-denim-150They say, “War is hell”. A person never knows what to expect in the heat of battle. One moment the silence is deafening, and the next moment the countryside erupts in percussive explosions with the endless spray of bullets flying everywhere. Sometimes it is hard to tell, under the constant shelling and lifeless bodies strewn about the battlefield, who is friend and who is foe.

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Alternatively, it is not always the intensity of the fighting that gets under a one’s skin. Just the sight of another member of one’s unit having a bad encounter with a roadside bomb is all it takes to shake a person up. The thought quickly crosses the mind, ‘That could have been me.’ Or, maybe it is the guilt some feel from that first or second confirmed kill. It is enough to compel many soldiers to ask, ‘Is human life really that expendable?’

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On the battlefield, the need to survive causes many soldiers to quickly learn how to suck it up and tuck many of those feelings inside. Perhaps the greatest difficulty is facing these issues when the war machine is no longer forcing these individuals to engage the primal instinct to survive. They call it aftermath, because that is when the real calculations are performed by the human psyche, and the final assessment of the real extent of the damages are made.

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