Après le 13 novembre, comment s’en sont sortis les psy

logo-huffpost-cest-la-vieAprès le 13 novembre, comment s’en sont sortis les psy
Ils ont écouté et écoutent encore les rescapés des attentats du 13 novembre.
07/11/2016
Sandra Lorenzo
Journaliste responsable de la rubrique C’est La Vie
13 NOVEMBRE – Ils n’ont pas soigné les blessures par balles, les traumatismes crâniens ni les hémorragies. Mais autant que les chirurgiens, les infirmiers ou les pompiers, la présence des psychologues et des psychiatres était indispensable dans les cellules d’urgence mises en place pour les attentats du 13 novembre.

Ils ont travaillé une nuit, une journée ou plus, autant d’heures qui les ont marqués durablement. Bien sûr, recevoir des témoignages difficiles est le cœur de leur métier. Mais, sont-ils tous formés à entendre de pareils récits de massacre pendant plusieurs heures? Comment se sont-ils remis d’une telle intervention? Nous avons interrogé plusieurs d’entre eux.
Tous les spécialistes de la santé mentale qui interviennent au sein des CUMP, les cellules d’urgence médico-psychologique, n’ont pas la même formation et ne sont donc pas égaux face aux victimes. Dans la mairie du XIe, la nuit du 13 novembre, certaines victimes ont pu être reçues par Héloïse Marichez dont la prise en charge du psychotraumatisme est la spécialité et qui entend au quotidien des récits de guerre.
Les victimes à la mairie du XIe arrondissement pouvaient aussi être reçues par Stéphanie*, une psychologue qui travaille dans les écoles de la région parisienne, bien moins rodée donc à ce genre d’intervention. « Je pense que c’était ma première nuit blanche depuis mes 25 ans », se souvient-elle. « À 8h du matin, le 14 novembre, quand je suis sortie, je n’étais pas fatiguée, je suis même allée prendre un café avec une amie. Je ne ressentais rien ».

Après cette garde de huit heures, la psychologue est en fait en état d’hypervigilance. « Je ne souffrais pas de stress post-traumatique mais j’avais certains symptômes, je voyais par exemple des visages revenir par flash », explique-t-elle encore.

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Mercredi 26 octobre 2016 – Réunion Art-thérapeutes pour 13 or de vie

Prochaine réunion

mercredi 26 octobre 2016 à 18 heures

A la maison des associations de Clichy la Garenne
Salle Olympes de Gouges

Métro Mairie de Clichy

Ligne 13

mda-210x300Mercredi 26 octobre 2016 réunion
Clichy_135D-690x487


O brutrdre du jour

O brutrganisation
1/ Les ateliers

Sur le blogue – suivi des ateliers avec un lien de compte rendu vers les ateliers ouverts qui permettent aux internautes de voir et de savoir.

lien vers le calendrier des propositions d’ateliers

Cette vitrine doit nous permettre d’expliquer ce qui se passe dans les ateliers et en quoi ils sont arthérapeutiques.

2/ Méthodologie du projet 13 O brutr de vie

– documents communs pour les ateliers

3/ Les journées rencontre avec les participants

Présentation des ateliers par chacune des art-thérapeutes.

Éléments de communication
4/ Les réseaux sociaux

Notre présence sur les réseaux sociaux.

5/ Le financement participatif – HelloAsso

https://www.helloasso.com/associations/art-therapie-virtus/collectes/13-or-de-vie
La collecte a commencé pour vos amis et un groupe restreint de connaissance. Les réseaux sociaux, ce sera pour plus tard. Chacun doit faire un mail personnalisé pour son réseau en y joignant le lien. Le montant récolté dépendra de l’huile de coude que nous allons utiliser.

Présentation du projet
Trois faces d’un projet visant à venir en aide aux victimes des attentats du 13-Novembre 2015 et aux association de victimes, proches de victimes et aidants.
• Les 13 ateliers d’Art-Thérapie, à Paris, spécialisés dans la prise en charge des victimes de traumatisme, durant les mois d’octobre, novembre, décembre 2016 & janvier 2017 – 130 séances ;
• Une œuvre collective pour la commémoration du 13-Novembre ;
• Un travail plus individualisé sur toute une année pour l’association Art Thérapie Virtus