Stop à l’apologie de la pédophilie dans l’espace public !

Logo-Ma-vérité-sur27/01/2014
Avec la participation de Le CRIFIP auteur de cette Vérité lutte contre une vraie désinformation sociale.
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L’apologie de la pédophilie sous prétexte de littérature

Enfin, récemment, l’écrivain Gabriel Matzneff a repris de vieux textes datant de 1954 à 2012 pour en faire un recueil : Séraphin, c’est la fin. Cet ouvrage a reçu le prix Renaudot Essai le 4 novembre 2013. Pourtant, ce livre contient des passages pédopornographiques où l’auteur relate ses expériences sexuelles avec des enfants mineurs. En voici des extraits :
« Les petits garçons de onze ou douze ans que je mets ici dans mon lit sont un piment rare. »
« (Orlando, 14 ans) Son petit dos, ses jolies petites fesses semblables à des pommes, ce délicieux petit trou du cul, quelle divine étroitesse, quelle chaleur, quelle fermeté ! Après l’amour, il se plaint que je l’ai possédé trop brutalement. »
« Vendredi soir. Journée délicieuse entièrement consacrée à l’amour, entre ma nouvelle passion, Esteban, beau et chaud comme un fruit mûr, douze ans, le petit que j’appelle Mickey Mouse, onze ans, et quelques autres, dont un de huit ans… »

Comment se peut-il que de telles pages reçoivent le Prix Renaudot Essai sous prétexte de littérature ? Le fait de raconter ces actes dans l’essai caractérise une apologie de la pédophilie. Parmi les militants des droits de l’enfant, l’association Art Thérapie Virtus expose sur son blog les risques de telles publications : « Le discours véhiculé dans Les Moins de seize ans de Gabriel Matzneff pourrait faciliter le passage à l’acte de pédophiles, qui pourraient lire son essai et s’en servir pour justifier et dédramatiser leurs actes. »
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