L’art et toi : transformer la peur par Chantal Nahas

Comment ne pas se laisser emporter par l’onde de peur qui ne ferait que m’épuiser, affaiblir mes défenses immunitaires et attirer ce que je redoute ? Comment ne pas nourrir l’égrégore de peur de l’humanité ?
Je peux me libérer de mes peurs : d’abord les regarder en face, puis changer d’état intérieur et enfin les transformer par l’art.
C’est la proposition apaisante que je vous fais aujourd’hui.
Je vous souhaite de doux moments de paix intérieure et de CONFIANCE en la VIE.

Chantal Nahas

À présent je concentre mon action artistique autour du développement personnel et de la connaissance de soi par l’art.
Pour vous renseigner, laissez-moi vos coordonnées mail par le biais du formulaire de contact du site, en me précisant toutes vos questions. Je vous répondrai en vous donnant de plus amples informations.

Du rêve à l’art-thérapie par Sonia Robertson

Sonia Robertson

Sonia Robertson propose un remarquable travail de création et d’intégration. Son point de départ, sa source d’inspiration, c’est un objet de culture amérindienne que les autochtones appellent l’attrapeur de rêves.

https://www.lafabriqueculturelle.tv/capsules/11746/du-reve-a-l-art-therapie-sonia-robertson

6 avril 2019
Crédits
Coordination : Télé-Québec Saguenay–Lac-Saint-Jean | Jocelyn Robert
Réalisation, caméra et montage : Sylvie Gravel
Technicienne de production : Julie Pelletier
Remerciements aux participantes de Kamishkak’Arts.

Dans une rencontre récente avec l’équipe de La Fabrique culturelle au Saguenay–Lac-Saint-Jean, l’artiste, commissaire, entrepreneure et art-thérapeute de Mashteuiatsh, Sonia Robertson, nous parle de l’importance du rêve et de la création artistique.
Levier social, outil de survie, moyen de guérison : l’art a toute son importance pour les Premières Nations et ce, depuis longtemps. L’art permet de s’exprimer, de se connecter avec le monde imaginaire, pour ainsi, dit-on, se rapprocher de notre être intérieur et faire plus de place au « Grand homme » (Mishtapeu) ou à la « Grande femme » (Mishtaskueu) » qui nous habite.