Le secret de famille d’Eloïse : « Ses mains sont descendues. J’étais tétanisée » par Emilie Brouze

logo-l'obs-rue-89Publié le 03/01/2015 à 13h02
Le secret de famille d’Éloïse a d’abord éclaté dans une chambre d’enfant, quand elle avait 8 ans, avant de fuiter jusqu’aux oreilles des adultes et de tranquillement se faire oublier, dans le moelleux d’un cocon familial.
Logo-Ne-le-dis-à-personePendant des années, les protagonistes ont fait comme si de rien n’était. Et un beau jour, splatch, le secret a ressurgi et s’est éventré comme un pigeon écrasé.
Dans la rue de cette petite ville de l’Aisne, tout le monde l’a su.
serrure3L’objet du secret est relatif à l’homme avec qui tante Colette s’est remariée, via les services d’une agence de rencontres non fortuites. Bernard était adorable avec les enfants et Eloïse se souvient qu’elle l’aimait beaucoup.
Jusqu’au jour où l’oncle par alliance a posé ses mains sur elle. Les cousins de Picardie étaient de passage à Paris et les enfants jouaient devant l’ordinateur, isolés dans une chambre.

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Roselyne Godard, la boulangère pornographe acquittée d’Outreau

Parmi les acquittés d’Outreau, il en est une à qui on aurait donné le bon dieu sans confession. Cette petite femme toujours prête à rendre service aux autres, qui donnait des bonbons aux enfants du quartier, ne peut pas être coupable des faits qu’on lui reprochait. Même en ayant lu le dossier plusieurs fois, on ne peut s’empêcher de se dire qu’elle ne peut être qu’innocente, quand on la voit à la télé, raconter à quel point elle s’est sentie dépassée par les événements, elle qui avait une vie si lisse, si bien rangée.
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