Les souvenirs du corps par Babette Rothschild

a href= »http://www.amazon.fr/gp/product/0393704009/ref=olp_product_details?ie=UTF8&me=&seller= »>
Rothschild, Babette. The body remembers. New York: W.W. Norton & Company
27 mai 2003
Selon Babette Rothschild, les deux zones du système limbique les plus importantes dans le stockage et la récupération de mémoire sont l’amygdale et l’hippocampe.
L’amygdale est le plus clairement impliqué dans l’évaluation de signification émotionnelle lié « à la mémoire émotionnelle fortement chargée comme la terreur et l’horreur, devenir actif tant pendant qu’en se rappelant un incident traumatisant » (p. 11). L’hippocampe crée la carte cognitive de l’expérience, « la mise en perspective appropriée de nos souvenirs et la place dans la chronologie de notre vie. » (p. 11). Il fonctionne d’abord, en comparant les événements de l’expérience présente avec des événements du passé et, ensuite, en déterminant si et comment les événements sont associés. Quand il est placé en perspective, l’événement devient une expérience avec un début, un milieu et une fin.
Pour consulter le livre, cliquez sur la couv

2 réflexions au sujet de « Les souvenirs du corps par Babette Rothschild »

  1. Je ne comprends pas trop. Donc c’est dans l’amygdale que sont tous nos souvenirs de l’enfance etc. et qui se met à fonctionner ‘mal’ quand on est face à une situation de souvenir au cours de la journée, quand quelque chose déclanche odeur, lieu, etc. et l’hippocampe doit gérer et ranger les souvenirs correctement normalement.
    Alors je dirais si c’est cela chez moi, c’est l’amygdale qui est au devant de la scène donc pas normal. J’aimerais comprendre car là je ne suis pas sûre de ce que j’ai écrit, je suis désolée si j’ai écrit des âneries.

  2. Merci pour ces rappels d’aides , qui sont certainement très efficaces…
    Cependant il faut recevoir des réponses à ses demandes(par ex: silence radio à ma demande de participer à l’atelier d’écriture thérapeutique de l’hôpital Sainte-Anne)

    Et c’est loin, très loin, d’être le seul silence, la seule fin de non-recevoir, le seul rendez-vous manqué…

    Peut-être ai-je, à ces moments-là, été plus compétente pour m’interdire que pour m’autoriser de mener à bien mes demandes? peut-être?

    Une épreuve précise vient de s’annoncer aujourd’hui, pour mon corps, donc pour ma personne…

    Dépression, colère, résignation, re-colère, puis détermination et entrée en guerre…

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.