RAIVVI – La Relation d’Aide par l’Internet pour les Victimes de Viols par Inceste

Les interventions/ateliers – écriture des lettres – Exercices pratiques par l’Art-Thérapie – sont complémentaires à tout parcours médical obligatoire et ne peuvent pas le remplacer. Les interventions peuvent être réalisées en collaboration avec les psychologues ou psychiatres, hôpitaux, centres de soins ou préventions…
Nos services accompagnent les praticiens et professionnels de santé dans leur compréhension de la dissociation péri-traumatique.

Avertissement

Il n’y aurait que moi je mettrais mes dessins en privé, mais bon à l’art-thérapeute de voir. Les personnes ne respectent pas la règle du blogue : ne pas copier, collé.
Je veux bien servir d’exemple mais je ne veux pas servir de jouet ou je ne sais quoi d’autre. Les personnes ne me connaissent même pas et ne s’occupent pas de ce que je peux ressentir !

Peut-être serait-il nécessaire de rappeler les règles de ce blogue, ça fait partie des limites ça non ! Bonne journée.

L’art-thérapeute décide de mettre les dessins en privé car en ce moment nous travaillons sur les limites et elles doivent être respectées. Avis au copilleurs !
Si la personne qui pille est la même que celle qui pique les ateliers des consœurs sur Facebook, attention nous allons porter plainte.

« Nous vous rappelons que le téléchargement des travaux présentés sur le site Art-Thérapie Virtus est destiné à un usage strictement privé.
Toute reproduction desdits travaux pour un usage autre que privé effectuée sans le consentement de l’auteur constitue une contrefaçon susceptible d’entraîner des sanctions à votre encontre.
(articles L.122-4, L.122-5, L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle). »

livre gérer la dissociation

BMP est lauréate EgArt – Découvrez les lauréat.e.s 2020 et choisissez une œuvre

Thématique

Nous écrire

Préface française de la Dre Muriel Salmona
page 16 du livre
Et il pallie la méconnaissance, la sous-estimation et l’incompréhension qui entravent l’identification des violences et de leurs conséquences psychotraumatiques. Restituer aux victimes traumatisées une parole, une cohérence, une vérité, une solidarité et des droits dont elles sont privés. Redonner du sens dans ce qui leur arrive, est une nécessité absolue.

N’oubliez pas que derrière des syndromes post-traumatique graves,  il existe une personne qui demande à être regardée telle qu’elle est, comme elle est et qu’elle ne veut pas être regardée comme un rat de laboratoire où comme une personne qui amuse « la galerie ».
N’oubliez pas que cette personne n’a jamais demandé  à subir toutes ces conséquences post-traumatiques tous les jours. Elle n’a pas demandé à être violée, à être battue à mort, à être une chose et j’en passe. Elle ne demande qu’à être elle simplement et à être regardée ainsi, comme toute personne a le droit d’être regardée et respectée.

BD

38 réflexions au sujet de « RAIVVI – La Relation d’Aide par l’Internet pour les Victimes de Viols par Inceste »

  1. Les agresseurs sont dans ton corps quand les crises sont trop violentes et que je ne peux plus bouger un seul membre ou quand je ne sens plus rien.
    Je ressemble à une lavette paralysée assise sur un divan.
    Je ne sais pas si être consciente de mon état est une force.
    Mon psychiatre m’a dit que j’étais courageuse. Mais c’est important de sourire à la vie. Tout comme c’est important de recevoir, de transmettre et de partager, je me battrais jusqu’au bout.

    1. « Les agresseurs sont dans ton corps quand les crises sont trop violentes… »

      Pourquoi vous n’écrivez pas : dans mon corps ?

      « Je ressemble à une lavette paralysée assise sur un divan. »

      Vous ne trouvez pas que c’est violent envers vous ?

      « Mon psychiatre m’a dit que j’étais courageuse. »

      Je préfère lire ceci BMP!

      1. « Les agresseurs sont dans ton corps quand les crises sont trop violentes. »
        Pourquoi vous n’écrivez pas : dans mon corps ?

        Je ne nie pas mon passé, mais je ne veux pas donner de l’intérêt aux personnes qui m’ont pratiquement laissée pour morte. Je veux garder cette partie en moi qui se bat et qui aime la vie ça, c’est le positif !

        « Je ressemble à une lavette paralysée assise sur un divan. »
        Vous ne trouvez pas que c’est violent envers vous ?

        Dans les grosses crises qui se rapprochent de plus en plus… j’ai du mal à me lever, du mal à bouger les membres, les bras, les jambes, à remonter ma culotte par exemple, à tenir un verre, à ouvrir une bouteille, à serrer quelque chose dans les mains, à tenir, à plier les jambes, etc.
        Oui je me sens ainsi comme une lavette certes, c’est violent, mais il y à un mieux : avant je me trouvais morte de l’intérieur.
        Le plus difficile, c’est d’accepter cet état à 55 ans ! Une situation que je travaille avec mon psy, car il n’y à pas de retour en arrière !
        Je compte surpasser mes limites encore un peu. Je compte bien continuer à tenir mon pinceau. Je n’écris pas essayer ! Ce n’est pas assez positif et fort ! Non ! Je vais donc le faire ! En trouver les moyens. On peu m’aider oui, mais me bouger ça on ne peut pas le faire à ma place ! Sourire à la vie et non l’enterrer !

        1. Bonjour BMP,
          Vous êtes une personne unique dans votre force de caractère, dans votre combat. Mais on a du déjà, vous le dire.
          Vous nous déstabilisez par votre façon d’être et par votre talent !

          « On peut m’aider oui. »

          Nous, on est tous là derrière nos écrans, à vous accompagner. Vous nous donnez du courage et nous, on vous en apporte également.

          « Mais me bouger ça, on ne peut pas le faire à ma place ! »

          Oui, c’est vrai !

          1. « Vous êtes une personne unique dans votre force de caractère, dans votre combat. Mais on a du déjà, vous le dire.
            Vous nous déstabilisez par votre façon d’être et par votre talent ! »

            Je ne sais pas quoi penser de tout cela. Tellement de versions différentes !
            Merci d’être derrière vos écrans 🙂

  2. Ce corps me fait souffrir ! Ça déménage, des maux de toutes sortent m’assaillent. Cet étrange dualité à la vie résonne en moi.
    Je pleure mes pinceaux quand je suis dans cet état, car je me sens comme un pantin assis sur un divan ou les articulations et les mouvements ont été figés et creusés.

      1. Mon état physique est en mode dans les chaussettes et se dégrade ! C’est aussi là que l’art-thérapie est importante pour admettre mais aussi pour digérer tous les changements.
        Mais les lendemains sont des autres jours 🙂 Et il y aura d’autres créations !
        Positivons !
        Merci pour votre message.

        1. Vous avez raison, il faut positiver
          Voyez-vous toujours votre psychiatre ? et que pense-t’-il de votre état qui se dégrade ?
          Vous n’êtes pas obligée de répondre à toutes mes questions.
          On vous accompagne On ne vous lâchera pas et même si vous n’allez pas fort.
          Courage.

          1. Je ne peux répondre à vos questions. Surtout la deuxième. Ça reste dans un cadre privé.
            Merci pour votre compréhension.

  3. Je voudrais mettre les choses au point. Non je n’ai pas été me faire sauter.. Non je ne me suis pas fait “sauter” dessus par tout le monde, comme on le dit à mon sujet. Et j’en passe des choses qui se disent à mon sujet.

     On m’a agressée, violée, maltraitée voir pire !  Cela c’est mon vécu, qui rentre dans l’indicible, car il n’y a pas de mots pour dire. Mais personne n’a le droit de parler de mon passer en le déformant dans le présent.

    De même, j’affirme haut et fort que jamais je me fais passer pour une Art -Thérapeute ! je suis une bénévole, et je transmets ce que j’ai appris! 
    Aujourd’hui, oui, je suis une petite artiste. Une artiste qui reste fragile et qui continue à essayer de s’en sortir ! 
    Ne jugez pas les personnes sans essayer de les connaître avant. Ne vous attardez pas sur les « on dit”.
    Allez vous promener sur le blogue si vous le désirez, il y a une belle aventure humaine qui vous attend 🙂

    N’oublier pas ce bel espoir qu’il faut toujours essayer et espérer.
    Essayer encore et encore, même si par moment et ça je peux le comprends on aimerait envoyer tout balader et en finir, car on en peut plus, car on est épuisé par ce qu’il faut gérer.
    Continuer malgré l’usure provoquée par les dissociations…la maladie ou autre.. Ça reste encore difficile pour moi encore, je reste traumatisée.Alors oui, je peux l’entends, mais ..

    En nous, en moi,  il y a cette petite flamme, qu’il faut laisser allumer et qu’il faut faire grandir. Et pour cela, il ne faut pas grand chose, il suffit juste d’un geste, d’un sourire, d’une bonne nouvelle, d’une rencontre, de prendre son crayon, de mettre des couleurs sur une feuille, de regarder une fleur éclore….etc..
    Profiter de l’instant présent 🙂 accrocher vous à la vie, souriez lui !

  4. Bonjour
    Je trouve étonnant qu’un gros blog comme celui-ci ne soit pas protégé concernant les droits d’auteur.
    Je trouve désolant également que vous mettiez les œuvres en privé. Nous les personnes qui allons sur le blog ne pourrons plus en profiter !
    N’est-il pas possible de revoir cette décision ?
    Merci.

    1. « N’est-il pas possible de revoir cette décision ? »

      Bonsoir monsieur.
      Pour l’instant certains travaux seront mis en privé.
      Après pour le reste c’est à réfléchir.
      Il n’y aurait que moi, je mettrais tout en privé. Terminé disparue.
      Les personnes qui ont une telle attitude devraient réfléchir au mal qu’elle font autour d’elles, mais également au mal qu’elles m’ont fait. Toucher à ce blogue c’est comme me détruire moi.

      1. Bonjour
        Mais il n’y a pas que vous.
        Vous regretter ou pas votre position de tout cacher ? Je vous assure qu’il ne le faut pas. Qui sera là pour dire et démontrer ce qui se passe dans les dissociations et voir plus loin si vous vous cachez ?

        1. « Qui sera là pour dire et démontrer ce qui se passe dans les dissociations et voir plus loin si vous vous cachez ? »

          Toute personne est capable de faire ce que je fais.
          Il faut juste avoir le courage de se mettre complètement à nu, de ne rien cacher, de rester soi-même et de s’en prendre plein la figure par moment… c’est essayer de surmonter sa honte, sa culpabilité d’être ainsi ou autre.
          Tout comme c’est difficile d’expliquer aux personnes que ce n’est pas si simple d’avancer. Que ce passé est là et qu’il nous bourre notre cerveau. Pour des personnes cela reste de la mauvaise volonté etc…
          C’est essayer d’expliquer aux personnes calmement que voilà, moi je ressens ça et ça me fait ça etc en moi. Peut-être pas toi, mais essaie de l’entendre et de le comprendre, et que ce n’est pas pour autant que je me plains, que je tourne en rond etc. mais que j’ai simplement plus de difficultés à me défaire de ce passé car mon cerveau a du mal à se reconstruire autrement et à fonctionner autrement dans le présent. Mais qu’il faut garder cette confiance. C’est accepter que des personnes quand vous vous mettez à nu peuvent jouer et profiter de vos troubles.

          Voilà il faut prendre conscience de tous ces événements.
          C’est savoir aussi dépasser ses limites et accepter qu’il faut se remettre en question, changer, aller au plus profond de ce passé, de nos troubles pour les comprendre et comprendre le fonctionnement.
          Tout comme les autres personnes doivent avoir un autre regard bienveillant sur les dissociations et tout ce qui entoure ce phénomène.

          Sinon rien ne pourra avancer et changer !

          « Vous regretter ou pas votre position de tout cacher ? »

          – Par moment je me dis qu’il faut que je me laisse me débrouiller complètement. De toute façon c’est fait et que notre réputation est faite.
          – Dans d’autres moments j’aimerais tout arrêter. Demander à Emmanuelle qu’elle enlève toutes mes traces. C’est ma vie ce sont mes dessins. Ce sont sont mes écrits et je suis en droit de tout enterrer, m’enterrer, enterrer ce qui me fait souffrir voir plus.
          – Et puis il y a ces moments forts et plus raisonnables où je me dis que les personnes doivent savoir. Savoir c’est sortir d’un déni et pouvoir faire avancer sur le domaine de la santé et de la recherche. C’est apporter des réponses et peut-être également rassurer les personnes qui restent dans le silence.
          C’est se donner dans le présent mais là dans une façon constructive et positive et non se donner pour se faire violer et j’en passe !
          Avoir des regrets c’est souffrir, quoique avancer fait mal également mais c’est pour un mieux…
          Sachez aussi que des personnes travaillent sur elles-mêmes et restent dans l’ombre.
          Mon psy, le docteur L., m’a dit un jour quand je voulais savoir, que j’étais à la plus haute marche de l’escalier de échelle concernant les séquelles post-traumatiques et dans les dissociations. Sur le moment j’ai pleuré car je m’en voulais etc.
          Et puis dans ma tête je me suis dit pourquoi ne pas faire de ce passé quelque chose de constructif dans le temps présent… Aider les autres à comprendre ce qui se passe par exemple.
          Après voilà oui par moment je butine etc. Mais mer… on est humain Promenez-vous sur ce blogue en le respectant, et observez ce travail fait avec l’art thérapeute, même si on se prend la tête oui car cela arrive. Promenez-vous et vous aurez votre réponse !
          Bonne journée, monsieur.

          1. « Toute personne est capable de faire ce que je fais. »

            Ah ben oui, ça on en doute pas puisque jamais personne ne l’a fait.
            Ce que vous me saoulez à toujours réécrire les mêmes rengaines, comme pour vous déprécier ou peut-être qu’on vous passe la brosse à reluire ?

          1. « Elles sont ou les étoiles de notre rencontre Emmanuelle ? »

            Je ne peux que commenter : Plainte !
            Vous ne lisez même pas les commentaires dans le bon sens qui n’est pas forcément le votre dans votre pulsion de mort.

        2. « Vous ne lisez même pas les commentaires dans le bon sens qui n’est pas forcément le votre dans votre pulsion de mort. »

          « …comme pour vous déprécier »

          Je ne le perçois pas, je répondais à la question du monsieur.

          « …ou peut-être qu’on vous passe la brosse à reluire ? »

          Je n’ai pas perçu cela comme un compliment en lisant, mais plutôt comme une remontrance.
          Pourquoi on ferait cela ? On a cette attitude quand on nous demande de faire quelque chose et que la personne est contente. Mais là on ne ma rien demandé c’est mon choix, vous m’avez proposé de venir sur ce blogue Emmanuelle j’ai dit oui voilà. Il n’y a pas d’exploit là-dedans et à passer la brosse à reluire. C’est naturel et normal.

          Moi et la compréhension des écrits et dans la lecture parfois ce n’est pas ça ! Je ne capte pas de suite.

  5. J’aimais bien moi, voir les affiches des expositions, comme celle de Clichy et de Loches… C’est important c’est de l’émotion, de l’élégance c’est juste intouchable et unique 🙂 Un diaporama pourquoi pas ?
    Merci 🙂

  6. J’ai le droit de le dire là, car c’est dans les limites. Je me sens vide et je n’aime pas car je n’arrive à rien ! parce que je n’arrive pas à me concentrer et je me sens dans le placard !

  7. Je vous fais si peur que cela pour laisser ce blogue sans commentaire et sans échange ? rhonnnn….
    Ce blogue est une aide pour toutes les victimes, même anciennes victimes. C’est une trace d’exemple que l’on peut toujours essayer de s’en sortir, même si c’est difficile et j’en passe !
    Parce qu’un blogue qui n’a pas de mouvement dans le temps présent est un blogue qui perd vie petit à petit. Cela ce n’est pas possible, il y àa trop de traces colorées, de forces et de témoignages etc.
    Alors n’hésitez pas à échanger, à poster des articles, à poser des questions ou autre. Vous êtes toutes et tous les bienvenu.e.s . Il en a toujours été ainsi 🙂
    Bonne journée !

  8. Je m’imagine à sauter d’un pond pour apaiser mon mal être . Pour contrer cette idée de ma partie émotionnelle qui veux passer à l’acte. Tout comme quand vous voulez vous faire du mal avec un cutter, vous vous faite des gros traits rouges sur le bras..Ou alors vous pouvez essayer aussi de tenir des glaçons dans vos mains et vos serrez très fort. Essayez. Et recommencer au temps de fois qu’il le faut jusqu’à ce que vous n’avez plus cette envie de vous tuer ou autre.

  9. Je préfère rester moi sans doubles visages, car c’est ce qui est mieux et non faire semblant, mentir et j’en passe. Je me dis qu’au moins on sait à qui on a à faire, pas de double jeux ou autre.
    Mais il y a ces paroles que le Pr de neurologie m’a dites un jour : vous êtes là avec vos questions, vos bagages lourds, votre souffrance, votre côté petite fille etc. Vous êtes vous et cela peut vraiment déstabiliser une personne et même un.e professionnel.le. C’est une qualité mais par moment on n’est pas habitué à cela.
    Je ne savais pas comment prendre cela, si c’était un compliment ou pas et je n’ai pas osé lui demander : j’avais la trouille et devant lui n’on a pas intérêt à broncher .:) un peu comme mon psy.
    Je lui avait répondu : je peux comprendre, mais rester soi-même est important, cela ne nous empêche pas de travailler ce qui ne va pas.
    Mais au moins je n’ai pas ce double visage qu’avait les mères nourricières qui m’a fait tant souffrir…
    Aujourd’hui je ne sais pas si c’est une qualité et demander m’effraie toujours, mais c’est souvent que j’y réfléchis.
    Il y a une chose que j’ai apprise avec le travail sur le blogue : je ne suis plus une poupée de chiffon qu’on balance et qu’on ressort quand on a besoin d’elle, quand elle ne gène plus.
    Ceci me rappelle trop les agresseurs qui m’ont abusée et ça c’est terminé et cela s’appelle « avoir une attitude qui sort de la victimisation ».
    On m’accepte comme je suis ou pas du tout.
    Merci.
    Bon je retourne à mes pinceaux !

  10. Emmanuelle, j’ai besoin de travailler, de peintre. Par moment ce n’est pas facile de travailler sur moi-même, sur mon passé, je ne me sens pas bien.
    On interprète mal ce que les autres nous renvoie, ou ressentent. Ce travail remue les boyaux tout est bousculé, on ne prend pas toujours bien les conseils dans le bon sens, ou même nos tords.
    C’est ce qui se passe en ce moment pour moi et en moi.
    Je ne voulais pas être désagréable avec vous, je ne voulais pas dépasser les « bornes » mes remises en questions sont honnêtes.
    Je voudrais comprendre ce qui se passe en moi et réussir à faire des liens. Comprendre ce qui réactive ce passé.
    Je ferais encore plus d’efforts pour y arriver. Y compris dans mon état d’être, et dans mon travail.
    J’aime ce que je fais même si parfois le chemin est rude à gravir. Mais j’ai de la volonté et surtout j’y crois à ce mieux.
    Je voudrais danser encore encore avec mes pinceaux et les couleurs, les formes.
    Je ne suis pas sans défauts, personnes d’ailleurs, tout le monde peux dérailler, mais il suffit de revenir sur le droit chemin et de continuer d’avancer, et essayant de ne pas refaire les même erreurs.
    C’est un bijou qu’il y a sur ce blogue, un travail de longue haleine, important. C’est comme écrire un livre, et le continuer est ma force mais aussi mon médicament, une aventure formidable remplie de belles choses extraordinaires.

    1. Je ferais encore plus d’efforts pour y arriver.

      Je ne veux pas de plus d’efforts, ça ne se situe pas à ce niveau là. C’est encore un truc de vos mères. Vous devez lâcher votre passé, c’est du passé et arrêter de vous y accrocher pour survivre. Vous avez le dessin pour vivre et si vous continuez à survivre, vous n’aurez jamais d’avenir.

      1. Moi je veux vivre et avoir un avenir.
        Je dois apprendre à gérer mes émotions du passé quand elles viennent dans le présent, dans le travail que je fais sur moi et dans les événements.
        Je sais que j’en suis capable. Parce que justement j’ai le dessin. Et je garde en moi cet espoir d’un mieux encore et encore.
        Et aussi une chose importante : j’aime ce que je fais, découvre et je m’y intéresse parce que j’arrive à comprendre et c’est ça qui est bon et beau aussi. Y compris pour tous ces liens qu’on travaille ensemble et qui sont parfois un peu compliqués pour moi à comprendre. Mais comme ça fait du bien ! Justement me sentir vivre dans le présent.
        Il y a encore beaucoup de choses à faire, les surprises du présent à découvrir, ce mouvement que j’aime tant.

        Voilà pour quoi j’aime ce blogue:
        http://artherapievirtus.org/RAIVVI/category/consequences/dissociation/page/28/

  11. Cela fait un an aujourd’hui qu’a eu lieu cette exposition à Clichy. Cette journée, ces rencontres formidables sont gravées dans mon cerveau, et c’est un vrai bonheur de m’en rappeler.
    Une pensée particulière à toutes les personnes rencontrées ce jour-là, qui m’ont accueillie avec toutes leur gentillesse, et respect et leurs sourires.
    Merci de m’avoir fait vivre cet événement.
    Je suis toujours aussi émue, et fière.

  12. Je me promène, je glisse et je suis émue, jamais je ne cesserais de flâner sur ce blog. A chaque fois je retrouve des moments que ma mémoire a oubliés, un texte, une toile, un article. Surfer dessus est bien meilleur que les médocs contre mon angoisse que je prends qui agissent une fois sur deux. Le plus beau c’est de regarder les beaux résultats qu’apporte ce blog en ce qui me concerne, c’est encore mieux qu’une séance avec mon psy oh ne le prenez pas mal docteur mais lui au moins il reste ouvert 24h sur 24h. Ce blog est vivant :). Il a une histoire.

  13. Je suis toujours étonnée des découvertes que l’on peut faire sur ce blogue.
    c’est trop ça. 🙂 j’aime bien flâner, lire, relire, chercher le côté positif quand c’est négatif.

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