Livre : La blessure d’abandon par Daniel Dufour

Exprimer ses émotions pour guérir

Broché
Paru le : 03/04/2008
Éditeur : Les éditions de l’Homme
ISBN : 978-2-7619-2432-0
EAN : 9782761924320
Nb. de pages : 145 pages
Poids : 240 g<
Dimensions : 15,5cm x 23cm x 1cm
Vous est-il déjà arrivé de penser que vous n’êtes pas aimable ? d’avoir peur de vous engager dans une relation ? de songer à quitter votre partenaire parce que vous vous dites que si ce n’est pas vous, c’est lui qui partira ? Si oui, c’est probablement que vous êtes abandonnique.
Dans ce cas, ce livre est fait pour vous. Vous y trouverez des histoires de cas, des analyses, des conseils, tout ce qui peut vous aider à guérir pour aimer mieux, c’est-à-dire aimer dans la sérénité, sans crainte d’être abandonné. La solution ? Aller au-delà de vos barrages mentaux pour redécouvrir votre corps physique et vos sensations, reconnaître et vivre vos émotions, et reprendre contact avec votre être profond.
En d’autres termes, apprendre à vous aimer en vous prodiguant de « petites touches d’amour ». Leçon de vie, leçon d’amour, tel est le message que vous livre l’auteur dans ce livre qui couronne un parcours de quinze années de travail sur la question de l’abandon.


Né en Suisse en 1951 et diplômé de la faculté de médecine de Genève en 1979, Daniel DUFOUR a exercé en tant que chirurgien puis délégué et coordinateur médical dans les conflits armés et pays en guerre en Asie, au Moyen-Orient et en Europe pour le Comité International de la Croix-Rouge (CICR).
Depuis 1988, il est médecin responsable de la Clinique Vita-med à Genève où, en tant que médecin généraliste et spécialiste en médecine tropicale, il pratique une médecine globale dans laquelle les causes de la maladie sont traitées plutôt que les symptômes. Il est le fondateur du concept et de la méthode OGE (à l’envers de l’ego) depuis 1977. Il est intervenant dans les stages et séminaires OGE en Europe et au Canada et est membre du Conseil de l’Association pour la Prévention de la Torture (APT).

Atelier du 23 décembre 2016 – Suite mosaïque

Outre le coté motricité du mouvement et travail de la force pour la rééducation fonctionnelle, la réalisation d’une œuvre tesselle par tesselle pour former au final un tout, canalise l’attention et stimule la concentration et la créativité, qu’elle soit celle d’un individu, ou interagisse sur la dynamique d’un groupe.
Dans ce parcours la mosaïste-art-thérapeute occupe la place d’un tiers qui permet au sujet de mettre en forme ce qui est informe et accueille ce que l’autre fait sortir de lui, entend ce qui est « in-ouï ». En autorisant à « vivre » ce qui a surgi au cours de l’expérience, en le replaçant dans le réel, le tiers permet le passage de la forme « fantasmée » à la forme « réelle ».

 

Je prends mon temps, je discute, j’ai envie que ça colle tout de suite.
Ce n’est pas ce que j’avais imaginé à la base, je m’étais représentée le plateau plus foncé, les découpes de tesselles plus grosses.
Je colle moins les morceaux qu’à la première séance, mais il faut les rassembler plus, sinon il y aura trop de joint. J’ai hâte de mettre les joints (comme du ciment), lisser…
Dans les transports, je tiens absolument à garder le plateau à l’horizontal, et je gêne tout le monde lol. Car dans l’ascenseur en sortant, des gens disent vous pouvez avancer, car ils voient bien que je peux le mettre à la verticale, ça prendrait moins de place.